Deux très fortes explosions ont secoué mardi le port de Beyrouth, provoquant des scènes de dévastation. Mardi 4 août, deux énormes explosions ont fait plus de 100 morts et des milliers de blessés dans le port de Beyrouth : Durant le mois de juillet, la livre libanaise perd 60 % de sa valeur, tandis que 45 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et 35 % de la population active est au chômage[4],[5]. Deux puissantes explosions successives ont secoué Beyrouth mardi 4 août, semant la panique et provoquant un immense champignon de fumée dans le ciel de la capitale libanaise. Dans l’après-midi, des explosions … La capitale libanaise, déclarée ville "sinistrée", s'est réveillée sous le choc, après ces explosions, dont le souffle a été ressenti jusque sur l'île de Chypre, à plus de 200 kilomètres de là. Un premier bilan, au lendemain des explosions, fait état d'une centaine de morts et de plus de 4 000 blessés[49]. Le gouvernement pointe du doigt une cargaison de nitrate d'ammonium stockée "sans mesures de précaution" sur le port. Ses infrastructures ont été endommagées et des visiteurs et membres du personnel soignant sont morts dans l’explosion[53]. Les explosions au port de Beyrouth de 2020 sont la succession de deux explosions dans le port de Beyrouth, le 4 août 2020 aux alentours de 18 h au Liban. Nous entretenons de très bonnes relations avec le peuple libanais et nous serons là pour vous aider. L'aéroport international de Beyrouth - Rafic Hariri, situé à 10 km de l'explosion, subit des dommages importants : dans les bâtiments des terminaux, des fenêtres, des portes, des plafonds ainsi que des câblages électriques sont détruits. On y trouve également la base navale de la marine libanaise[11]. Il contient dans ses cales 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium. Selon l'Institut d'études géologiques des États-Unis, la seconde explosion a été équivalente à un séisme de 3,3 sur l'échelle de Richter (concernant la secousse à proprement parler et non pas les dégâts engendrés)[18],[19]. Enfin, l'économie du pays est en récession depuis 2018[4]. Hassan déclare que des centaines de personnes ont été blessées[8], et qu'il faut s'attendre à « de nombreux blessés et des dégâts importants »[48]. L'effet de souffle produit de très nombreux dommages, tant humains que matériels[16]. Les Pays-Bas annoncent l'envoi de 67 travailleurs humanitaires, dont des médecins, policiers et pompiers[103]. Le Centre jordanien d'observation sismologique relève quant à lui une énergie libérée correspondant à une magnitude de 4,5[20],[21],[22]. Le 4 août 2020, deux explosions ont soufflé le port de Beyrouth (Liban), entraînant au moins 170 morts, 6 500 blessés, 300 000 déplacés et des dégâts significatifs. Le directeur de la Sûreté générale libanaise, le général Abbas Ibrahim, confirme ce point, précisant que ce dépôt devait être acheminé au Mozambique[30],[31]. Double explosion à Beyrouth : comment les 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium se sont retrouvées stockées dans le port. Elle dévaste toute la zone portuaire, plusieurs navires mouillant à quai ou se trouvant au large ainsi que le centre même de Beyrouth. Le port de Beyrouth détruit après la double explosion qui serait due au stockage de 2 750 tonnes de nitrate d’ammonium dans un entrepôt, le 5 août. Specialists at the University of Sheffield in the UK estimate that the blast had about one tenth of the explosive power of the atomic bomb dropped on the Japanese city of Hiroshima during World War Two and was "unquestionably one of the biggest non-nuclear explosions in history". AFP/AFP - Beyrouth fait exploser les archives de données Toutes les théories suggèrent que cette explosion est le résultat de l'explosion d'un entrepôt rempli de matériaux hautement explosifs, qui avaient été confisqués ces dernières années par les autorités du pays. Quelles sont les causes de l'explosion ? Parmi les victimes, on compte également 10 sapeurs-pompiers de Beyrouth, tués alors qu'ils intervenaient pour la première explosion[50]. Un nuage de Wilson puis un nuage en champignon sont créés par l'explosion. On 4 August 2020, a large amount of ammonium nitrate stored at the port of the city of Beirut, the capital of Lebanon, exploded, causing at least 210 deaths, 7,500 injuries, and US$ 15 billion in property damage, and leaving an estimated 300,000 people homeless. Certains rapports stipulent qu’un conteneur de feux d’artifice brûlait. Le 9 août, la ministre de l'information, Manal Abdel Samad, annonce sa démission et présente ses excuses aux Libanais[76]. Après inspection, les autorités du port de Beyrouth interdisent au navire de reprendre la mer et celui-ci est alors abandonné par ses propriétaires[34],[35]. ». Le 12 août, le président Aoun annonce que « les estimations préliminaires pour les pertes essuyées [...] dépassent les 15 milliards de dollars »[66]. Vous comprendrez peut-être ce qui se... Beyrouth : bilan, cause des explosions… Ce que l’on sait au lendemain du drame, Les explosions dans le port de Beyrouth (Liban), le 4 août 2020, Signaler le commentaire suivant comme abusif, Liban : comment les plaques d'égout de Beyrouth sont devenues la nouvelle cible des voleurs, Beyrouth : Macron annonce l'envoi "des secours et moyens français", DIAPORAMA - Beyrouth : les images terrifiantes des explosions, Beyrouth : au moins 78 morts et 4.000 blessés dans les explosions, Beyrouth : ce que l'on sait des explosions qui ont fait plusieurs morts et blessés, Écoles et cantines fermées : Castex annonce une aide pour les familles modestes, La recette de Lignac pour un hamburger au poisson, Coronavirus : la France n'a pas gardé le contrôle, Les poissons d'avril sont bons pour la santé. Près de 3 000 tonnes de nitrate d’ammonium stockées dans un entrepôt, des avertissements proférées pendant plusieurs années, et deux explosions dévastatrices. Une instabilité de Rayleigh-Taylor est apparente sur la surface de la Méditerranée lorsque le nuage de Wilson se déploie, provoquant sur les flots une vague qui s'étend parallèlement à l'onde de choc. Avant le 4 août, le port de Beyrouth était le point d’entrée de plus de 80 % des importations du pays. Explosions à Beyrouth : qu’est-ce que le nitrate d’ammonium, à l’origine de plusieurs accidents ? Celles-ci ont été tellement puissantes qu'elles ont été enregistrées par les capteurs de l'institut américain de géophysique (USGS) comme un séisme de magnitude 3,3. liée à des produits chimiques stockés dans un entrepôt du port de Beyrouth depuis six ans Le paquebot de croisière Orient Queen II, qui se trouvait à quai, est très sérieusement endommagé et plusieurs membres d'équipage sont blessés[61]. Le président israélien Reuven Rivlin envoie un message de soutien en langue arabe : « Nous souhaitons sincèrement offrir notre aide en cette période difficile »[80]. Les explosions de Beyrouth le 4 août 2020 ont tué plus de 180 personnes et en ont blessé des milliers. Certaines personnalités de l'extrême droite israélienne ont critiqué l'affichage du drapeau du Liban, un « État ennemi », dans la ville[101]. Au 26 octobre 2020, le dernier rapport du gouvernement démissionnaire de Hassane Diab fait état de 207 morts, plus de 6 500 blessés, ainsi que neuf disparus : trois Libanais, cinq Syriens et un Égyptien[1]. Il était environ 18 heures mardi 4 août 2020 à Beyrouth lorsque deux énormes explosions se sont produites dans le port de la ville, secouant l’agglomération entière. Une violente explosion dans la zone portuaire de la capitale libanaise, Beyrouth, a fait au moins 100 morts et plus de 4000 blessés selon un bilan provisoire annoncé par le premier ministre. George Haswani avait déjà été accusé de tenter de fournir du nitrate d'ammonium au régime syrien, composé notamment utilisé par le régime dans la fabrication des bombes barils[40],[41],[42]. La Tunisie envoie également deux avions militaires de nourriture et d'équipements médicaux et annonce que 100 blessés seront transférés en Tunisie et placés dans des hôpitaux tunisiens[104]. Les médias locaux et le ministre libanais de la Santé, Hamad Hasan, indiquent rapidement que de nombreuses victimes sont à craindre[8]. La seconde explosion de 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium stockés dans le hangar numéro 12 de la zone portuaire provoque des dégâts humains et matériels considérables à travers la ville et parmi les navires mouillant au port. Accueilli par une foule nombreuse, le président français annonce l'arrivée d'aide humanitaire et le déploiement du porte-hélicoptères amphibie Tonnerre. Le nitrate d'ammonium aurait été déchargé dans le port en 2013, puis stocké dans un entrepôt à cet endroit[14]. En raison de l'ampleur des dégâts dans la ville de Beyrouth, 250 000 à 300 000 personnes se retrouvent sans logement[67]. Le lendemain de l'accident, plusieurs journaux soulignent le risque d'incidents similaires dans d'autres villes, notamment à Newcastle (Australie) et Haïfa (Israël), où sont stockées plusieurs milliers de tonnes de nitrate d'ammonium[115],[116]. 300 000 personnes seraient également sans logement des suites de cette explosion. "Nos équipes poursuivent leurs recherches et opérations de secours dans les zones environnantes", a ajouté l'organisation dans un communiqué. Plusieurs personnes décèdent lors de leur transfert à l'hôpital[47]. Plusieurs experts s'inquiètent que la sécurité alimentaire du pays soit compromise à la suite de cet accident, le port de Beyrouth gérant 60 % des importations du Liban, qui importe 80 % de ses denrées alimentaires[68]. Les explosions sont ressenties jusqu'à plusieurs dizaines de kilomètres et de nombreux bâtiments de Beyrouth sont endommagés sur leurs façades ou/et leurs fondations[51]. C'est inacceptable et nous ne pouvons pas nous taire", a déclaré le Premier ministre devant le Conseil supérieur de défense, selon des propos rapportés par un porte-parole en conférence de presse. L'ambassade de Belgique est également endommagée[55],[56]. Le directeur des douanes, Badri Daher, indique qu’un dépôt de feux d’artifice se trouvait à côté de celui où était entreposé le nitrate d’ammonium[37]. La double déflagration a tué plus de 100 personnes et a fait plus de 4 000 blessés selon le dernier bilan de la Croix-rouge libanaise ce mercredi. Elle est d'une ampleur comparable à la catastrophe de Texas City de 1947 (provenant d'ailleurs du même élément chimique). La France est déjà engagée. De nombreux pays ont proposé de l'aide au Liban, notamment la France qui envoie mercredi plusieurs tonnes de matériel sanitaire. La zone industrialo-portuaire du port de Beyrouth est vitale pour le Liban. Le 31 août 2020, le président français Emmanuel Macron s'est rendu à Beyrouth pour la deuxième fois en un mois, et a adressé son soutien au peuple libanais, en exprimant sa détermination à l'aider à effectuer un changement de régime politique et en dénonçant l'immobilisme de la classe dirigeante du Liban après la catastrophe[114]. Afin d'assurer la sécurité et la qualité de ce site, nous vous demandons de vous identifier pour laisser vos commentaires. La cause exacte de l’explosion n’est pas encore claire, mais selon les experts, ce serait très certainement un incendie à proximité qui aurait initié l’explosion. "Il est inadmissible qu'une cargaison de nitrate d'ammonium, estimée à 2.750 tonnes, soit présente depuis six ans dans un entrepôt, sans mesures de précaution. J'ai tout vu (dans ma vie), mais rien de tel", a témoigné Makrouhie Yerganian, un professeur à la retraite qui vit depuis plus de 60 ans en face du port. L’explosion dévastatrice du 4 août dernier dans le port Beyrouth vient s’ajouter aux tragédies que connaît le Liban depuis des décennies. Le président du Conseil des ministres du Liban, Hassan Diab, annonce une journée de deuil national le 5 août 2020[70]. L'explosion s'est produite derrière les silos sur cette vue. La seconde explosion, nettement plus violente et destructrice que la précédente, se produit vers 18 h (heure locale). Le 9 août, les représentants d'une trentaine de pays se réunissent en visioconférence, à l'initiative de l'ONU et de la France, pour convenir de l'aide à apporter. Les secouristes tentent mercredi 5 août de retrouver des victimes dans le port de Beyrouth, au milieu des immeubles éventrés, au lendemain des deux énormes explosions qui ont fait plus de 100 morts et des milliers de blessés, selon un bilan provisoire de la Croix Rouge libanaise. Lokman Slim a ouvertement accusé le Hezbollah et le régime de Damas, avec la complicité de la Russie, d’être responsables de la double explosion, peu de temps avant d'être assassiné[43]. Elle est le principal lieu d'échange de marchandises du pays : 60 % des importations du pays sont estimées passer par-là[7],[8]. Au 26 octobre 2020, le dernier rapport du gouvernement démissionnaire de Hassane Diab fait état de 207 morts, plus de 6 500 blessés, ainsi que neuf disparus : trois Libanais, cinq Syriens et un Égyptien[1]. Les dégâts matériels sont estimés à plusieurs milliards de dollars. Celui-ci déclare également que « les salles de soins intensifs de l'hôpital universitaire Rafik-Hariri sont maintenant pleines et, si la situation reste la même dans les prochains jours, l'hôpital ne pourra pas accueillir les cas nécessitant des soins intensifs »[3]. « Specialists at the University of Sheffield in the UK estimate that the blast had about one tenth of the explosive power of the atomic bomb dropped on the Japanese city of Hiroshima during World War Two and was "unquestionably one of the biggest non-nuclear explosions in history". Des urgentistes vont également rejoindre Beyrouth au plus vite pour renforcer les hôpitaux. Le lendemain de la catastrophe, le gouverneur de Beyrouth, Marwan Abbout, annonce que « près de la moitié de Beyrouth est détruite ou endommagée »[64] et chiffre une première estimation des dégâts « entre trois et cinq milliards de dollars »[65]. Le nitrate d'ammonium, à l'origine des explosions de Beyrouth qui a fait 73 morts mardi, est un sel blanc et inodore utilisé comme base de nombreux engrais azotés sous forme de granulés, qui a causé plusieurs accidents industriels dont l'explosion de l'usine AZF à Toulouse en 2001. La plus impressionnante, qui ressemble à un champignon atomique, provient d'une cuve contenant 2 750 tonnes de nitrates d'ammonium, stockés depuis 2014 « sans mesures de précaution », selon les autorités. Trois autres hôpitaux de Beyrouth ont également été endommagés lors de l'explosion, et l’accident a réduit leurs capacités[54]. Le soir même, le président des États-Unis Donald Trump déclare : « Les États-Unis sont prêts à aider le Liban. Ces flashs lumineux, très courts, sont décrits comme semblables à des feux d'artifice mis en route[12]. La Croix-Rouge libanaise annonce que toutes les ambulances disponibles dans le Liban-Nord, la plaine de la Bekaa et le Liban du Sud sont envoyées à Beyrouth en renfort[12]. Des témoins déclarent que des maisons situées jusqu'à dix kilomètres de distance ont été endommagées par l'explosion[52]. Une colonne rouge et gris-noir apparaît ensuite lorsque l'onde de choc se disperse[14],[15]. Environ 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium, qui était stockées dans l'entrepôt du port de Beyrouth, seraient à l'origine des déflagrations. Le directeur des douanes Badri Daher a déclaré que ses services avaient averti six fois la justice sur ces risques[32]. Le lendemain, le gouvernement décrète l'état d'urgence dans Beyrouth pour une durée de deux semaines, confiant la sécurité de la ville à l'armée[71]. Double explosion à Beyrouth : le bilan s'alourdit et passe à 100 morts et 3 700 blessés. La première explosion provoque une fumée grise de couleur claire, avec des dégâts relativement restreints. Le bateau qui portait la cargaison à l'origine de la tragique explosion qui a détruit le port de la capitale libanaise, fait 137 morts et 5000 blessés, n'aurait jamais dû s'arrêter à Beyrouth. « les salles de soins intensifs de l'hôpital universitaire Rafik-Hariri sont maintenant pleines et, si la situation reste la même dans les prochains jours, l'hôpital ne pourra pas accueillir les cas nécessitant des soins intensifs », « L'explosion survient à un moment sensible pour le Liban, avec une crise économique ravivant d'anciennes divisions. Le président Émmanuel Macron a annoncé sur Twitter l'envoi d'un détachement de la sécurité civile et de "plusieurs tonnes de matériel sanitaire" à Beyrouth. Beyrouth : l'explosion a causé un cratère gigantesque de 43 mètres de profondeur Le site du port de Beyrouth ravagé par une double explosion survenue le 4 aout 2020. Plusieurs manifestations en octobre 2019 ont mené à la démission du gouvernement, remplacé en janvier 2020 par un nouveau cabinet dirigé par Hassan Diab. Une pétition réclamant de placer à nouveau le Liban sous mandat français pendant dix ans recueille plus de 60 000 signatures deux jours après sa mise en ligne[74], la pétition a dépassé son objectif qui était de 50 000 signatures[75]. Dans l'épicentre de l'explosion, le paysage reste apocalyptique : les conteneurs ressemblent à des boîtes de conserve tordues, les voitures sont calcinées, le sol jonché de valises et de papiers provenant des bureaux avoisinants, soufflés par l'explosion. Un peu plus tard le Conseil supérieur de la défense indique que les déflagrations sont dues à l’explosion de 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium dans le port[29]. Nous entretenons de très bonnes relations avec le peuple libanais et nous serons là pour vous aider. Le président du Conseil des ministres du Liban, Hassan Diab, déclare : « C'est inacceptable que 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium soient entreposées pendant six ans sans mesures de sécurité »[36]. Ce mardi 4 août, la capitale du Liban Beyrouth a été le théâtre d’un drame d’une violence rare et qui fait craindre un bilan humain extrêmement lourd. La Tchéquie envoie des équipes de secours[105]. L'explosion a causé un cratère de 43 mètres de profondeur dans le sol. Le juge Tarek Bitar a également interrogé Badri Daher en présence de ses avocats. Cela ressemble à une terrible attaque », « l'explosion semble avoir été causée par une sorte de bombe », « un accident plutôt qu'une attaque délibérée », « Nous souhaitons sincèrement offrir notre aide en cette période difficile », « un message de solidarité et de fraternité », « fournie directement à la population libanaise, avec le maximum d'efficacité et de transparence ». Des secouristes, épaulés par des agents de sécurité, ont cherché toute la nuit des survivants ou des morts coincés sous les décombres. le fabricant d'engrais géorgien Rustavi Azot, vendeur de la cargaison, et le groupe mozambicain Fabrica de Explosivos, acheteur, n'avaient pas non plus la responsabilité ou les moyens de récupérer le chargement ; l'autorité portuaire a alors déchargé et entreposé le produit potentiellement explosif conformément à une décision de justice ; les douaniers avaient alerté à six reprises sur le danger, mais leurs recommandations n'ont pas été suivies.