Arrêté du 5 juillet 2016 fixant les circonscriptions consulaires en République d’Afrique du Sud. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Une circonscription électorale est une fraction du territoire national qui sert de cadre à l'élection d'un représentant (scrutin uninominal) ou de plusieurs représentants (scrutin de liste). 585 sièges sont à pourvoir[7]. Après la chute du roi au début de 1848, le gouvernement provisoire rétablit le scrutin majoritaire plurinominal départemental, tout en doublant le nombre de députés et en multipliant par près de 40 le nombre d'électeurs, première occurrence du suffrage universel masculin depuis 1792. S'ensuit un nouveau redécoupage qui reprend dans les grandes lignes celui de 1875, la différence principale étant l'instauration d'un seuil de 40.000 habitants pour qu'un arrondissement ne soit pas fusionné[11]. Lors des élections législatives de 2007, la France comptait 577 circonscriptions législatives : 555 en France métropolitaine, 15 dans les départements d'Outre-Mer et 7 dans les collectivités d'Outre-Mer. 2020; 2019; 2018; 2017; Accueil > Le consulat > Circonscription > Circonscription. Pour le bras droit de Marine Le Pen, ce scrutin est enfin l’occasion de s’imposer dans la région. Le nombre total des circonscriptions est établi en fonction du nombre de Français qui résident hors de France, et des membres de leur foyer familial, inscrits sur les listes consulaires pour voter hors de France. Son suppléant Bastien Coriton, réélu maire de Rives-en-Seine, ayant décliné le poste, les habitants des 69 communes de la circonscription étaient invités dimanche à choisir un nouveau représentant à l’Assemblée nationale. Sorti en tête dans 13 des 18 départements de la circonscription, le FN distance l’UMP qui avait effectué une percée en 2009 dans ce bastion historiquement ancré à gauche. Comme il y a cinq ans, l’UMP est arrivée en tête avec 26,69 %, mais en perdant trois points. Le cartel des gauches, où dominent les radicaux, d'autant plus « arrondissementiers » qu'ils sont désormais essentiellement élus et donc avantagés par les circonscriptions rurales, parvient à faire voter un retour au scrutin uninominal (Loi du 21 juillet 1927)[13]. Ces limites expliquent en partie les différences de population entre circonscriptions. En interne, le conseiller de François Mitterrand en droit constitutionnel, Michel Charasse, remarque que le nouveau découpage prive la gauche d'une soixantaine de sièges aux prochaines élections législatives, mais abaisse le seuil permettant à la gauche d'emporter la majorité absolue des sièges (48,5% des voix contre 52% avec le découpage de 1958)[28]. L'Assemblée nationale (Chambre des députés sous la troisième) est élue au scrutin de liste départemental majoritaire à deux tours, conformément à la loi du 15 mars 1849 utilisé une fois sous la Deuxième République[5]. pour la première fois lors des élections législatives de 2012 et siègent dans la XIVe législature de la Cinquième République française. La future chambre basse sera élue au suffrage universel (masculin et féminin, sans aller toutefois jusqu'à l'éligibilité des femmes) mais doublé d'un vote familial (vote du « chef de famille »), au suffrage majoritaire dans le cadre de circonscriptions que les circonstances empêcheront de préciser et de voir le jour. Cet article donne la liste des 577 circonscriptions législatives françaises, à savoir des 558 circonscriptions de départements métropolitains et départements d'Outre-Mer, des 8 circonscriptions des collectivités d'Outre-Mer[1] et des 11 circonscriptions des Français établis hors de France, par département et avec mention du nombre d'habitants (recensement de 2008, celui de 2009 pour la Nouvelle-Calédonie)[2],[3]. Depuis 1958 et l'avènement de la Ve République, les membres de l'Assemblée nationale sont élus au scrutin majoritaire à deux tours au sein de circonscriptions législatives qui doivent respecter dans la mesure du possible les limites cantonales et, obligatoirement, les limites départementales. Cinq multimédias pour comprendre les élections européennes, L’abstention recule légèrement en France, mais pas en Europe, Affaiblis, les « pro Européens » restent majoritaires au parlement européen, Tous les élus européens en France, circonscription par circonscription, Les résultats de l'extrême droite en Europe, Yves Bertoncini : « L’extrême droite n’a pas gagné les européennes », La majorité contrainte de réagir après le « séisme » des Européennes, La victoire du Front national aux élections européennes, © 2020 - Bayard Presse - Tous droits réservés - @la-croix.com est un site de la Croix Network, EMMANUELLE RÉJU, CORINNE LAURENT, MATHIEU CASTAGNET, JEAN-BAPTISTE FRANÇOIS, CÉLINE ROUDEN, LAURENT DE BOISSIEU, DENIS PEIRON, PASCAL CHARRIER, Fin de l’enquête sur l’assassinat du père Hamel, Dépenser vite et fort : un budget 2021 de relance et de déficits, Procès des attentats de janvier 2015 : « L’énorme regret » d’un chef du renseignement, Canicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouest, Cynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité », Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventé, Transition au Mali, les militaires gardent la main, États-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au Texas, L'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au Congrès, Pierre Rosenberg fait don de sa collection au futur musée du Grand Siècle, Accusations d’antisémitisme : Stéphane Bern défend l’écrivain Pierre Loti, En Guinée, l’archevêque de Conakry dénonce l’expropriation abusive des domaines de l’Église, Olivier Giroud : « Jésus est avec moi sur le terrain », Instrument de travail pour le Synode 2019 sur l’Amazonie. Toutefois la Première circonscription qui a le plus d'inscrits sur les listes électorales consulaires compte plus de deux fois plus d'inscrits (259 000 en 2017) que la Deuxième circonscription qui est celle ayant le moins d'inscrits (101 000 en 2017). Placées sous la responsabilité et le contrôle du consul général de France à Istanbul, elles étendent le réseau consulaire au plus près des ressortissants français. (Photo PN), Une expertise sur la façade de la maison Léger est en cours. > Dans le Sud-Ouest, le FN efface la percée de l’UMP en 2009. Depuis 1789, la France a connu douze principaux découpages en circonscriptions électorales, et plusieurs allers-retours entre le scrutin uninominal par circonscription et le scrutin de liste, généralement départemental. S ans surprise, c’est dans le Nord-Ouest que le Front national obtient son meilleur score, avec 33,61 % des suffrages exprimés pour la liste conduite par Marine Le Pen. Ce principe de représentation proportionnelle à un tour avec panachage est appliqué lors des deux élections législatives suivantes. Lors des élections du 6 octobre 1885, dans chaque département est élu un député pour chaque tranche (ou fraction) de 70 000 habitants avec un minimum de 3 députés (2 pour le territoire de Belfort)[6]. (Photo PN), A 62 ans, Patrick Chauvet devient nouveau sénateur de la Seine-Maritime. Le Conseil constitutionnel se déclare à nouveau incompétent pour évaluer la qualité du découpage (2010-602 DC). Le nombre de 577 est conservé, la représentation ultramarine étant augmentée à 22 députés. Ce net recul du principal parti de droite ne profite que très partiellement à l’alliance UDI-MoDem. Toutes les circonscriptions électorales par département. Avec à peine plus de 14 %, le PS fait seulement très légèrement mieux qu’en 2009, où l’élection avait viré au désastre historique. Le nombre de députés passe de 626 en 1919 à 584 en 1924[12]. Depuis 1789, la France a connu douze principaux découpages en circonscriptions électorales, et plusieurs allers-retours entre le scrutin uninominal par circonscription et le scrutin de liste, généralement départemental. Quoique prévu par la loi en 1986[25], le principe d'un redécoupage périodique tous les deux recensements n'est pas appliqué après celui de 1999. Le découpage de 1958, qui innove en supprimant toute référence à l'arrondissement, est utilisé presque sans modification pour les sept élections suivantes (1958, 1962, 1967, 1968, 1973, 1978 et 1981)[13]. Le PS conserve toutefois deux élus : Isabelle Thomas et Emmanuel Maurel, vice-président du conseil régional d’Île-de-France et secrétaire national du PS. Le nombre de députés passe de 626 en 1919 à 584 en 1924[12]. Au 1er janvier 2011, hors collectivités d'outre-mer et étranger, la plus petite circonscription est la deuxième circonscription des Hautes-Alpes avec 63 148 habitants et la plus peuplée la sixième circonscription de la Seine-Maritime avec 146 866 habitants. Le nombre total des circonscriptions est établi en fonction du nombre de Français qui résident hors de France, et des membres de leur foyer familial, inscrits sur les listes consulaires pour voter hors de France. Aux européennes de 2009, Jean-Marie Le Pen avait, dans la vaste circonscription Sud-Est, remporté 8,49 % des suffrages et été le seul de sa liste à bénéficier d’un siège au Parlement de Strasbourg. La loi du double vote de juin 1820, tout en conservant le scrutin plurinominal départemental, réinstaure le scrutin uninominal, qui concerne 247 députés, nombre inférieur aux arrondissements, ce qui conduit le gouvernement à effectuer, pour la première fois en Europe, un découpage électoral indépendant des circonscriptions administratives ou traditionnelles[3]. Placées sous la responsabilité et le contrôle du consul général de France à Istanbul, elles étendent le réseau consulaire au plus près des ressortissants français. Cette répartition s'applique aux élections du 24 février 1876 et du 14 octobre 1877. Avec 15,73 % des suffrages, la candidate radicale de gauche Virginie Rozière est en recul par rapport à 2009, mais pour sa première campagne, la polytechnicienne limite les dégâts. Son résultat est au-dessus de celui du PS au plan national et elle sauve les deux sièges conservés il y a six ans. Retrouvez votre numéro d’abonné sur vos factures ou en appelant le service abonnements au 02 35 14 57 57. Les Français établis hors de France ont voté pour la seconde fois lors des élections législatives de 2017 les 3-4 juin (une semaine avant la France métropolitaine) et 17-18 juin 2017 afin d'élire les députés qui siègent à l'Assemblée nationale dans la XVe législature. La liste d’Alain Cadec (UMP), député européen sortant et conseiller général des Côtes-d’Armor, l’emporte avec 19,49 % et obtient trois sièges au Parlement européen comme en 2009. Par la loi du 12 juillet 1919 est rétabli le scrutin à l'échelon du département, à raison d'un député pour 75 000 habitants, étrangers non compris, ou pour une fraction supérieure à 37 500 habitants, avec un minimum de 3 députés[7]. Spectaculaire et incontestable, la poussée du FN n’est toutefois pas uniforme. Le FN quadruple son score passant de moins de 4,5 % en 2009 à plus de 17 %. Depuis 1958 et l'avènement de la Ve République, les membres de l'Assemblée nationale sont élus au scrutin majoritaire à deux tours au sein de circonscriptions législatives qui doivent respecter dans la mesure du possible les limites cantonales et, obligatoirement, les limites départementales. Le nombre de circonscriptions pour la France métropolitaine[16], fixé à 465 en 1958[17], est en effet augmenté à 470 en 1966[18] lors de la réorganisation de la région parisienne, puis à 473 à la suite de la création de trois sièges dans le Rhône en 1972[19] et enfin à 474 en 1975, par création d'une circonscription supplémentaire en Corse[20]. > Dans le Sud-Est, emmené par Jean-Marie Le Pen, le FN triple son score. Données des collectivités d'outre-mer non disponibles au 16 avril 2012. redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, Redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, Population des communes et provinces de la Nouvelle-Calédonie de 1956 à 2009, Chiffres des recensements, ISEE, Listes des circonscriptions législatives françaises par département, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_circonscriptions_législatives_de_la_France&oldid=171614617, Liste de circonscriptions législatives françaises, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Ainsi, seules 10,3 % des circonscriptions existant en 1978 sont conservées[26]. Les listes UDI-MoDem n’obtiennent qu’à peine plus que le MoDem seul il y a cinq ans (9,38 % contre 8,67 %). ⚠️ Attention : du fait de profonds changements sur le site de l'Assemblée, les compte-rendus des commissions, les propositions de loi, les rapports et les votes ne peuvent plus être intégrés pour certains depuis plusieurs mois. Si la liste PS, conduite par la députée sortante Isabelle Thomas, a plutôt mieux résisté qu’au niveau national avec 15,58 %, son score est encore en baisse de deux points par rapport à 2009 (17,29 %). Circonscriptions. Le Consulat général de France à Alger est compétent pour les circonscriptions d'Alger seulement. La IIIe République (1871-1940) utilise essentiellement le scrutin d'arrondissement, et à certaines périodes le scrutin départemental de liste à deux tours et à la majorité relative (1871, 1885, 1919, 1924). En 2008, Nicolas Sarkozy charge le secrétaire d'État à l'Intérieur et aux Collectivités territoriales Alain Marleix d'un nouveau redécoupage afin d'adapter les circonscriptions aux évolutions démographiques et de créer des sièges pour représenter les Français de l'étranger tout en gardant un nombre de 577 députés[29]. Retrouvez la carte en grand format ici. La dernière modification de cette page a été faite le 30 juillet 2020 à 22:22. La tête de liste UMP, le copéiste Jérôme Lavrilleux, ne conserve sur l’ensemble de la circonscription que 18,75 % pour l’UMP contre 24,22 % en 2009. > La carte des députés élus par circonscription, (Cliquez sur les circonscriptions pour obtenir les noms des élus. Depuis 1815, scrutin uninominal par circonscription et scrutin proportionnel ont par ailleurs régulièrement alterné. À Paris, le parti de Marine Le Pen cale encore sous la barre des 10 % et n’arrive qu’en cinquième position. Les premières circonscriptions électorales qui ont permis d'élire les représentants aux États généraux en 1789 sont les bailliages et les sénéchaussées. Pour le Parti socialiste, « c’est une déculottée sans nom » , a affirmé la tête de liste de ce parti, Édouard Martin, ancien leader CFDT de Florange qui n’engrange que 13,23 % des voix contre 17,24 % en 2009. Ce découpage est utilisé en 1820, 1824, 1827 et 1830. Considéré comme inégalitaire par les Libéraux, ce système mixte est aboli par la charte constitutionnelle du 14 août 1830, à la suite des trois Glorieuses et de l'instauration de la monarchie de Juillet[4]. Le nombre de députés passe de 612 à 618 entre 1928 et 1936[12]. Conduite par Jean Arthuis, le sénateur de la Mayenne et ancien ministre des finances, la liste UDI-MoDem se place en quatrième position avec 12,38 %. Le scrutin uninominal d'arrondissement, pratiqué sous le Second Empire, est rétabli par la majorité de droite, qui le pensait plus favorable à ses intérêt, avec la loi organique du 30 novembre 1875 qui conduit à un septième redécoupage[5]. Les élections d'août 1815 et de 1816 ont lieu suivant ce système. La liste emmenée, comme lors du précédent scrutin, par Vincent Peillon n’obtient que 11,87 % (– 3 points) même si le Parti socialiste conserve ses deux sièges. La future chambre basse sera élue au suffrage universel (masculin et féminin, sans aller toutefois jusqu'à l'éligibilité des femmes) mais doublé d'un vote familial (vote du « chef de famille »), au suffrage majoritaire dans le cadre de circonscriptions que les circonstances empêcheront de préciser et de voir le jour. La liste MoDem-UDI a obtenu 8,43 % et les écologistes EELV 6,71 %. L'acte additionnel aux constitutions de l'Empire du 22 avril 1815 prévoie en effet pour les élections de mai suivant l'élection d'un représentant par arrondissement, complété par un scrutin plurinominal par département. La dernière modification de cette page a été faite le 3 juin 2020 à 10:47. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce premier découpage n'a pas pu être effectué très précisément lors de ces premières élections organisées par la France hors de ses frontières. Le socialiste Jean-Paul Denanot est également élu (15,82 %), contrairement à la centriste Sophie Auconie (9,94 %), qui n’arrive pas à se maintenir. Chaque département contient au moins une circonscription et aucune circonscription ne peut associer des communes de départements différents. Pour mobiliser les électeurs, le premier compte « rassembler tous les démocrates, au-delà de la gauche, pour faire barrage aux idées de l’extrême droite Â». Le Conseil constitutionnel se déclare à nouveau incompétent pour évaluer la qualité du découpage (2010-602 DC). Par rapport au seul MoDem en 2009, l’union des centristes gagne toutefois trois points, franchissant ainsi la barre des 10 %, ce qui lui permettra de gagner un second élu. Les élections de 1893, 1898, 1902, 1906, 1910 et 1914 suivent ce cadre, avec l'ajout régulier de députés en métropole (26 entre 1889 et 1914)[10] : le nombre de sièges, initialement de 581, est ainsi porté progressivement à 601 de 1893 à 1914[6]. Le cartel des gauches, où dominent les radicaux, d'autant plus « arrondissementiers » qu'ils sont désormais essentiellement élus et donc avantagés par les circonscriptions rurales, parvient à faire voter un retour au scrutin uninominal (Loi du 21 juillet 1927)[13]. « Il y a un vrai respect du travail de Christophe Bouillon, mais aussi de Bastien Coriton, de Martine Blondel [conseillère départementale et suppléante de Gérard Leseul, NDLR], et de tous les élus de gauche du territoire, commentait dimanche soir le socialiste, pour son baptême du feu à une élection au suffrage universel. Cette répartition s'applique aux élections du 24 février 1876 et du 14 octobre 1877. Paris et le Nord perdent trois députés, le Pas-de-Calais et la Seine-Maritime deux, tandis que l'Hérault, la Haute-Garonne et la Seine-et-Marne en gagnent deux. Dans le cadre du Second Empire, il maintient l'élection de la chambre basse au suffrage universel masculin, tout en procédant à des redécoupages importants avant chaque élection, en 1857 (élection de 1857), 1862 (élection de 1863) et 1867 (élection de 1869)[5]. Elle devance la liste PS-Union de la gauche à 19,33 % et la liste divers gauche à 18,24 %, tous deux également en recul. (Photo d’archives PN), J'accepte de recevoir par email les offres commerciales de Paris-Normandie, J'accepte de recevoir les offres commerciales des partenaires de Paris-Normandie. Le taux d’abstention est resté stable entre les deux scrutins, à 56 %. Le manque d’intérêt pour une Union européenne perçue comme lointaine, non seulement géographiquement mais aussi culturellement, se confirme, malgré les fonds massifs injectés par l’UE (4,8 milliards d’euros sur 2007-2013 pour les DOM) dans ces territoires. En 1985, alors que la France compte 491 circonscriptions, dont 17 ultramarines, François Mitterrand, afin d'éviter une défaite trop cuisante aux législatives de 1986, impose le scrutin proportionnel de liste par département par la loi du 10 juillet 1985. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le scrutin uninominal d'arrondissement, pratiqué sous le Second Empire, est rétabli par la majorité de droite, qui le pensait plus favorable à ses intérêt, avec la loi organique du 30 novembre 1875 qui conduit à un septième redécoupage[5]. La doctrine du FN sur la monnaie, le financement de l’État, l’emploi et les retraites, c’est lui. Ce scrutin permet à Jean-François Copé de se séparer de ce fidèle conseiller dans le contexte des accusations internes de mauvaise gestion voire de fausses facturations au profit de la société Bygmalion. circonscription pour les élections des députés à l'Assemblée nationale française (ou au Corps législatif durant le Second Empire). Cette évolution est cependant annulée un an plus tard par la nouvelle majorité de droite (gouvernement de Jacques Chirac) avec la loi du 11 juillet 1986, suivi par la loi du 24 novembre 1986 instaurant un onzième découpage, effectué sous la supervision de Charles Pasqua[24] sur les bases du recensement de 1982. Sa liste devance celle de l’ancien ministre de l’immigration Brice Hortefeux (21,38 %), qui garde toutefois son siège. La situation est similaire pour la Nouvelle-Calédonie et les collectivités d'Outre-Mer, hormis le cas particulier de Saint-Barthélemy et Saint-Martin. Il décide également d'augmenter le nombre de députés à 577[22] pour mieux représenter des départements dont la population avait augmenté sans diminuer le nombre de députés des autres départements[23]. Dès la Seconde Restauration, en juillet suivant, le scrutin d'arrondissement est limité, ne servant plus qu'à la sélection de candidats soumis au scrutin plurinominal[3]. Cette fois, à 85 ans, l’ancien président du Front national fait plus que tripler son score, avec 28,18 % des voix. Depuis le découpage, elles comptent entre 6 079 habitants pour la circonscription législative de Saint-Pierre-et-Miquelon et plus de 200 000 pour la Première circonscription des Français établis hors de France (inscrits sur les registres consulaires). Le nombre de députés oscille ainsi entre 579 en 1958[21] et 482 en 1962. Visas; Étudier en France; Travailler en France; Investir en France; Visiter la France; Retour en France; S’intégrer en France; Actualités. Le nombre de circonscriptions pour la France métropolitaine[16], fixé à 465 en 1958[17], est en effet augmenté à 470 en 1966[18] lors de la réorganisation de la région parisienne, puis à 473 à la suite de la création de trois sièges dans le Rhône en 1972[19] et enfin à 474 en 1975, par création d'une circonscription supplémentaire en Corse[20]. Les 1,7 million d’électeurs de la circonscription outre-mer se sont doublement singularisés par rapport à la métropole. S'ensuit un nouveau redécoupage qui reprend dans les grandes lignes celui de 1875, la différence principale étant l'instauration d'un seuil de 40.000 habitants pour qu'un arrondissement ne soit pas fusionné[11]. Le nombre de sièges à pourvoir est de 534, dont 8 pour l'Outre-Mer[6]. Quoique prévu par la loi en 1986[25], le principe d'un redécoupage périodique tous les deux recensements n'est pas appliqué après celui de 1999. La France dispose de 3 agences consulaires dans la circonscription consulaire d’Istanbul : à Izmir, Bursa et Edirne. 585 sièges sont à pourvoir[7]. Après un long travail, la loi est ratifiée en janvier 2010. Ce seuil n'est cependant pas toujours respecté, ni d'ailleurs le plafond de 100.000 habitants, ce qui n'aboutit pas à la résorption des inégalités entre circonscriptions rurales et urbaines qu'aurait pu occasionner le changement de principe du découpage—59 % des circonscriptions restent ainsi inchangées[14]. La seule évolution majeure est l'octroi automatique d'un député par arrondissement parisien ou lyonnais[9]. Attention, certains centres proposent des tests payants, d’autres le font gratuitement. Le président Louis-Napoléon Bonaparte se fait couronner empereur en décembre. Liste des 570 circonscriptions législatives françaises (départements métropolitains et départements d'Outre-Mer) et des 7 circonscriptions des collectivités d'Outre-Mer, par ordre décroissant du nombre d'habitants (recensement de 1999) [5], pour les circonscriptions en vigueur lors des cinq législatures de la période 1988 à 2012 (9 e, 10 e, 11 e, 12 e et 13 e législatures de la V e République Pour le Front de gauche, l’ancien maire de Calais, Jacky Hénin (PCF) rate en revanche sa réélection, même si la gauche « anti-austéritaire » maintient globalement ses positions. > En Île-de-France et chez les Français de l’étranger, l’UMP en tête. Le gouvernement de Vichy abroge les Lois constitutionnelles de 1875 et interrompt de fait le processus électoral. Circonscription; Les consuls honoraires; Rôles et compétences du Consulat ; Représentations françaises au Canada; Offres d’emploi; Services aux citoyens. Ce seuil n'est cependant pas toujours respecté, ni d'ailleurs le plafond de 100.000 habitants, ce qui n'aboutit pas à la résorption des inégalités entre circonscriptions rurales et urbaines qu'aurait pu occasionner le changement de principe du découpage—59 % des circonscriptions restent ainsi inchangées[14]. Pour la première fois, le découpage impose des critères d'égalité démographique infra-départementale stricts, avec un écart maximal toléré de 20 % à la moyenne et l'impossibilité de scinder les circonscriptions[25]. Les élections de 1893, 1898, 1902, 1906, 1910 et 1914 suivent ce cadre, avec l'ajout régulier de députés en métropole (26 entre 1889 et 1914)[10] : le nombre de sièges, initialement de 581, est ainsi porté progressivement à 601 de 1893 à 1914[6]. Ce découpage est utilisé pour les élections de 2012 et 2017. Cette dernière a toutefois annoncé sa démission à l'AFP, laissant sa place à Gilles Pennelle, troisième sur la liste. Dans cette circonscription historiquement socialiste, la dernière du département, le soutien du député sortant aura, à coup sûr, pesé dans la balance. Depuis 1789, la France a connu douze principaux découpages en circonscriptions électorales, et plusieurs allers-retours entre le scrutin uninominal par circonscription et le scrutin de liste, généralement départemental. Les circonscriptions métropolitaines comptaient alors entre 35 794 habitants pour la deuxième circonscription de la Lozère et 213 421 habitants pour la sixième circonscription du Var. Par ailleurs, sept départements peuplés (puis quatre en 1924) sont divisés en deux circonscriptions au sein desquelles les députés sont élus au scrutin de liste, et la Seine est divisée en quatre circonscriptions[11], pour éviter une victoire socialiste trop rémunératrice en nombre de sièges. Ces députés, au nombre de 11 (un par circonscription hors de France), sont élus selon les mêmes modalités (scrutin uninominal majoritaire à deux tours) et disposent des mêmes pouvoirs que les députés élus sur le territoire français. Mais tout en rabaissant le pouvoir législatif, il confie au Conseil national la tâche de rédiger le projet constitutionnel accordé au maréchal Pétain par la loi du 10 juillet 1940. Dans cette circonscription partagée en trois secteurs géographiques, pour que chaque océan ait un député originaire de la zone, deux sortants ont été réélus : le Néo-Calédonien kanak Maurice Ponga (UMP) pour le Pacifique, et le Réunionnais Younous Omarjee (DVG) pour l’océan Indien. Ces limites expliquent en partie les différences de population entre circonscriptions. Les autres circonscriptions sont à peu près bien équilibrées entre elles (entre 137 et 185 000 en 2017). Au 1er janvier 2011, hors collectivités d'outre-mer et étranger, la plus petite circonscription est la deuxième circonscription des Hautes-Alpes avec 63 148 habitants et la plus peuplée la sixième circonscription de la Seine-Maritime avec 146 866 habitants. Pour les élections législatives, le découpage est réalisé par circonscriptions qui sont elles-mêmes un regroupement de cantons.Or, pour les circonscriptions législatives l’ancien découpage des cantons est toujours utilisé[30]. Dès la Seconde Restauration, en juillet suivant, le scrutin d'arrondissement est limité, ne servant plus qu'à la sélection de candidats soumis au scrutin plurinominal[3]. Mais son score est en chute de près de huit points et il est talonné par la liste du Front national Gilles Lebreton qui obtient 19,25 % et envoie deux élus à Strasbourg : lui-même et Joëlle Bergeron.