Claude François ne peut attaquer sa première chanson qu'au bout de dix minutes de hurlements frénétiques. Il commence son spectacle par My Way qu’il doit bisser. Encore mineure, Sandra avait été repérée par le chanteur sur son île natale, en Haïti, et avait décidé de le rejoindre en France avec de faux papiers d’identité. Claude François a une sœur aînée, Marie-Josée François, dite « Josette », née le 28 août 1935 ; elle a écrit, en 2008, un livre de souvenirs, Claude François, mon frère[Note 3]. Leurs trois enfants, Gustave, Elisa et Adolphe voient ainsi le jour successivement à Port Saïd, Suez et Ismaïlia[2]. Certains événements accompagnent d'ailleurs cette permanence de la présence de Claude François dans les médias comme le roman Podium de Yann Moix en 2002 et son adaptation cinématographique en 2004, l’album hommage de reprises par notamment Jeanne Cherhal et Élodie Frégé en 2008 ou encore le biopic film de Florent Emilio-Siri en 2012[134]. Il finit par trouver un emploi dans le grand orchestre du Sporting Club de Monte-Carlo, dirigé à l'époque par Louis Frosio : d’abord batteur-percussionniste, il en devient ensuite chanteur (il gagne 1 000 francs par soirée), avec à son répertoire Colette Deréal, Charles Aznavour, Marcel Mouloudji, Ray Charles. Recherchez vos ancêtres sur la première base de données généalogique européenne. nécessaire] (voir Discographie étrangère). Belles ! Témoignage de Josette François, sœur de Claude François ; témoignage écrit de sa main : « C'est un dessin aussi réaliste qu'une photographie. Découvrez nos prix bas soeur claude francois et bénéficiez de 5% minimum remboursés sur votre achat. En 1972, il a un différend avec Robert Lamoureux, qui avait écrit le texte de la chanson Viens à la maison. Belles ! La Direction générale des impôts lui reproche d'avoir dissimulé pendant trois ans ses bénéfices personnels ainsi que les profits de deux sociétés de production et de ventes de disques dont les dirigeants sont sa sœur et son beau-frère, tous deux étant précédemment inculpés de complicité. Pour le pianiste de jazz, René Urtreger, évoquant les chanteurs des années 1960, Claude François « était le plus professionnel de tous. Il obtient la première partie du baccalauréat[Note 4] mais pas la seconde. Julie Bocquet, née sous X en Belgique le 15 mai 1977 et adoptée à l'âge de deux mois, serait issue d'une liaison qu'aurait eue le chanteur avec une adolescente âgée, selon les sources, de 13 à 15 ans[80],[81],[82]. Le 25 décembre, son premier Olympia avec quatre d’entre elles est un événement qui séduit et déchaîne le public. Claude François, le « mal-aimé », chanteur populaire quarante ans après, La parolière Vline Buggy évoque son Claude François : « On ne pouvait que l'aimer », Attentat Hilton Londres : interview Claude François, Cloclo, un business «forever» qui génère des millions, La cave de Claude François mise aux enchères à Drouot, Trente ans après sa mort, Claude François est toujours rentable, Le label Because rachète les droits de l'œuvre de Claude François. L'exemple le plus connu est celui de Comme d'habitude. Ce dessin hyper-réaliste sera pour Claude François le point de départ d’une longue réflexion sur l’image qu’il doit donner de lui[21],[22],[23]. Le magazine mensuel devient en trois ans la plus grosse publication pour les jeunes. Sur fond d'un déchaînement soudain d'hostilité envers les étrangers occidentaux, le départ d'Égypte s'effectue en catastrophe sous les injures et les agressions physiques[6]. Le ministère de l'Intérieur, qui a alors envisagé d'interdire le magazine[52], l'oblige à le vendre sous sachet afin qu'il ne puisse être feuilleté par les fans. En revanche, ils ont cédé le catalogue d'Isabelle Music (Chanson populaire, Viens à la maison, etc.) Il y interprète une adaptation en anglais de Chanson populaire (Love Will Call the Tune), My Boy (chantée en 1973 par Elvis Presley, laquelle est une adaptation de la chanson de Claude François Parce que je t'aime mon enfant) et So Near and Yet So Far. Le chanteur préféré des moins de dix ans s'est électrocuté dans sa salle de bains » (l'expression « a volté » est un jeu de mots faisant allusion aux élections législatives du dimanche 12 mars)[71]. Son père, qui ne lui parlait plus depuis deux ans, était malgré tout venu au mariage, avant de mourir d’une maladie des poumons le 19 mars 1961. La seule chose qui comptait à ses yeux », « qui l’attendaient devant sa loge dans l’espoir que leur idole les remarque », « artiste déifié, harcelé par ses fans, qu'il mettait aussi en scène dans, « il n'était pas le seul chanteur à coucher avec ses fans. Le 1er juillet 1972, il rachète un fanzine toulousain, Podium[45], pour un million de francs, et l'installe près de son hôtel particulier au 122, boulevard Exelmans[46]. Avec son allure de jeune homme de bonne famille, ses chansons aux paroles agréables, il séduit un public féminin de plus en plus nombreux[20]. people france News people. Claude François dissimule pendant six années l'existence de son second fils, Marc, dont l'existence est révélée à la presse en 1975. En 1956, la famille François est expulsée d’Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) à la suite de l'intervention franco-britannique visant à s'opposer à la nationalisation du canal de Suez par le président Gamal Abdel Nasser. Le 4 avril 1973, les journaux mentionnent l'inculpation de Claude François pour fraude fiscale. Après un séjour dans une chambre d'hôtel, les François, fatigués de demander des subsides auprès de la Compagnie du canal de Suez, partent en train pour Monte-Carlo où réside, depuis son mariage l'été précédent, leur fille Josette[7],[8]. Sa sœur Josette mentionne que pour le chanteur, sa compagne idéale « devait se rendre toujours disponible », « arrêter toute activité professionnelle et ne pas se mêler de la sienne »[91]. « Vrai despote » à l'égard de son entourage, il lui arrive de mettre ses musiciens, ses techniciens et ses salariés à l'amende et d'être humiliant, injurieux et parfois violent, allant jusqu'à les frapper pour « une fausse note, un défaut dans leur mise, un spot mal réglé, une brosse oubliée ». Il déclare notamment : « J’aime jusqu’à 17-18 ans, après je commence à me méfier. Pour sa carrière. C’est-à-dire que je suis fidèle avec l’esprit mais pas avec le corps »[74]. La dernière modification de cette page a été faite le 4 mars 2021 à 01:23. Le navire accoste au Havre d'où les François gagnent Paris. Au moment où il redresse, en maniaque du détail qu'il est, l'applique électrique murale de travers située au-dessus de sa baignoire, ses doigts restent collés au cuivre, les fils étant en partie dénudés[67],[68]. Quelques jours plus tard, les auteurs des coups de feu sont retrouvés : ils étaient fichés au grand banditisme. Claude Antoine Marie François naît le 1er février 1939. est une adaptation d'un morceau des Everly Brothers intitulé Made To Love). Josette, la soeur Claude François. La chanson, enregistrée en 1977, est commercialisée en 45 tours le 15 mars 1978, soit quatre jours après ses obsèques. Sa disparition tragique soulève une grande émotion à travers la France[67],[70]. Sur le sol du hall parsemé d'étoiles et sur les poignées de portes de la partie américaine du moulin, dessinées par Claude François, on peut lire les initiales « CF »[105]. Claude François se fait engager dans la formation d’Olivier Despax, les Gamblers, au poste de percussionniste, mais les cachets sont maigres[14]. », « Ainsi, du 10 au 13 avril 1972, il enregistre son émission intitulée « Avec le cœur ». Dans un premier temps, Coco, le fils aîné de Claude François, installé aujourd'hui à Bruxelles, et Marc François touchent un seizième des droits d'auteurs provenant des titres du catalogue de Jeune Musique SA[107]. De son côté, Janet est engagée comme danseuse à l’Olympia où elle rencontre Gilbert Bécaud pour lequel elle va quitter Claude François[12]. a su conquérir des millions de fans depuis les années 60 ! © Copyright Paris Match 2021. Ce mercredi 12 août, W9 diffuse un documentaire consacré à Claude François et intitulé Claude François, les derniers secrets. Claude François a fait la couverture de 219 magazines de son vivant et de 186 autres entre mars 1978 et mars 2006[123] et a été l'objet de 73 livres et biographies depuis sa mort[124]. Claude François s'y mêle aux jeunes enfants d'origine diverse (grecs, maltais, italiens, arabes) et y reste jusqu'à l'âge d'aller à l'école[4]. Durant la Seconde Guerre mondiale, Ismaïlia est bombardée par les Allemands et la villa de la famille François est détruite. Une cinquantaine de titres sont restés à l'état de maquettes inédites. Le 16 janvier 1978, il donne un concert au Royal Albert Hall à Londres devant 6 000 spectateurs. Chargé d'apurer les dettes (15 millions de francs) et de gérer l'héritage, le temps que Claude Jr et Marc François soient majeurs, il met plusieurs années à redresser les finances et doit vendre pour ce faire le moulin de Dannemois et le magazine Podium[103]. Le développement réussi de cette carrière posthume doit beaucoup à la gestion consciencieuse de son patrimoine artistique par ses fils mais aussi à la gestion de son image par Fabien Lecœuvre, qui parvient en quelques années à faire de Claude François une référence branchée, effaçant sa relative ringardisation des années 1980, commune à plusieurs chanteurs de variété des années 1970[112]. L'affaire ne sera jamais tirée au clair[97],[98]. Parallèlement à ses activités de chanteur, Claude François diversifie ses activités vers la presse jeunesse et la presse de charme mais aussi créé une agence de mannequins et un parfum qu'il commercialise. Le tournage terminé, passé minuit, il file, sur l'autoroute du Sud, vers sa résidence de Dannemois[Note 11] avec sa compagne, son chauffeur, son habilleuse et une programmatrice d'Europe no 1. Belles ! Sa participation à plusieurs émissions de télévision lui permet de se faire connaître auprès d'un large public. Non, je suis juste là pour vous raconter la vie d'un frère, le mien. Le magazine relate son comportement envers ses différentes compagnes, notamment son épouse Janet Woollacott, qu'il enferme « à clé [dans leur chambre de bonne], punie d’avoir souri à d’autres hommes en public »[91],[92],[93]. Aimé François épouse une Italienne, Lucia Mazzei[Note 2], dite « Chouffa ». Il se délasse en jouant de la tumba dans un petit orchestre qu’il a formé avec quelques copains. Prise en main par l'imprésario Paul Lederman, sa carrière démarre véritablement. Claude François : Au cœur d’un scandale ! Décédée le 13 novembre 2011 à l'âge de 73 ans, britannique, Janet était née à, « Isabelle Forest, la mère de ses deux fils », « à l’issue de la projection privée de « Cloclo », Isabelle Forest ne cache pas son émotion. Belles ! Côté sentimental, il fait la connaissance de France Gall, jeune chanteuse de 17 ans (lui en a 25). Josette François, soeur de Claude François, en janvier 2004 à Paris. Marc François cède par la suite ses parts dans Jeune Musique SA[Note 13] à son aîné. Le titre reste plusieurs semaines no 1[réf. », « Fin 1964, Claude François demande à Michel Bourdais de dessiner des sortes de BD pour divulguer les pas des danses dont il est le créateur. Si sa rémunération lui permet enfin de vivre et de faire vivre sa famille, il est désapprouvé dans son choix par son père qui aurait voulu qu'il devienne comptable. Claude François épouse le 5 novembre 1960, à Monaco, la danseuse Janet Woollacott[Note 9]. Tous droits réservés. Belles ! Elle donne le jour à Claude junior, le 8 juillet 1968. Robert Lamoureux et le compositeur (Henri Bourtayre, père de Jean-Pierre Bourtayre) portent plainte pour plagiat et obtiennent gain de cause. Il finit par trouver un emploi dans le grand orchestre du Sporting Club de Monte Carlo, dirigé à l'époque par Louis Frosio : d’abord per… Il se délasse en jouant de la tumba dans un petit orchestre qu’il a formé avec quelques copains. Ses nouveaux disques, Éloïse en début d’année et Tout éclate, tout explose en fin d'année, sont des succès[12]. En dépit de son succès auprès du grand public et du soutien de la presse populaire, Claude François a longtemps été peu apprécié par la presse d'opinion et par une certaine élite intellectuelle lui reprochant les paillettes, le strass sur ses costumes et dans ses spectacles, ses danseuses court-vêtues et le peu de profondeur de ses chansons, outre sa voix nasillarde[112],[125],[126]. Après une période où ses chansons sont celles de la pop musique anglo-américaine teintée de jazz (1963-1965), Claude François se tourne vers la musique soul (1967-1970), où les textes et la musique qu'il adapte gagnent en agressivité, ainsi Reste, chauffée aux cuivres et aux tambourins[121]. Il est d'autant plus persuadé que l'incendie est d'origine criminelle qu'un cocktail Molotov a été jeté dans ses bureaux du boulevard Exelmans au début du mois. Le journal Libération titre le surlendemain « Claude François : a volté. La chambre qu'il loue est en face de Radio le Caire, où il passe beaucoup de temps, écoutant en avant-première les disques français ou américains. Son fils, Claude François Junior, mentionnant notamment cet article de Lena Lutaud, souligne diverses erreurs et approximations qu'il contiendrait et déclare sentir, « sur cet anniversaire une espèce de vent contraire, où d'un seul coup quelqu'un a ouvert une porte, et que tout le monde s'autorise à dire du mal »[137]. Claude François interprète alors une chanson portant le même titre. Présente à ses côtés, sa compagne d'alors, Kathalyn Jones, âgée de tout juste 24 ans, tente en vain de le sauver.Mais quelques minutes plus tard, le chanteur succombe à … Le 17 décembre, il se produit au palais de l'Élysée pour le Noël des enfants et chante en duo avec le président Valéry Giscard d'Estaing[43]. Ironie du sort, un électricien était venu le mardi matin précédent pour des problèmes électriques dans son appartement mais n'avait pu accéder à la salle de bains : il aurait fallu, pour l'atteindre, qu'il traverse la chambre dans laquelle dormait le chanteur, ce que sa secrétaire Françoise avait exclu pour éviter de le réveiller, aussi un autre rendez-vous avait-il été pris le 13 mars[69]. Il prend ses clichés érotiques au Moulin de Dannemois[54]. L'expression de son regard donne vie au portrait. Claude François devait, dans l'après-midi, participer à l'enregistrement de l'émission Les Rendez-vous du dimanche, présentée par Michel Drucker. Alain-Dominique Perrin, PDG alors de Cartier, homme d'affaires réputé et l'un des amis du chanteur disparu, est nommé exécuteur testamentaire. Selon ses enfants, il a vendu 61 millions de disques (35 millions de son vivant et 26 millions depuis sa mort)[65]. Il ne compose et n'écrit que très peu de chansons mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Claude François a frôlé la mort 5 fois L'étrange expérience de Mme G Sa sœur aînée de 74 ans lève le voile sur les rumeurs qui ont entouré la mort du chanteur, le 11 mars 1978. Ses parents le placent en internat dans une école confessionnelle. Pour l'écrivain et musicien Olivier Delavault, auteur du Dictionnaire des chansons de Claude François, « des milliers de gens ont toujours été persuadés que Claude François n'a chanté pendant quinze ans que des bluettes à deux sous » mais « il n'est pas exagéré de dire qu'un vaste public est passé à côté d'un artiste complet »[130]. D'autres, selon le magazine Marianne, le désignent comme un individu au comportement « jaloux », « maladif », « paranoïaque » et « tyrannique »[91]. Cloclo, ou Cloclo : La fabuleuse histoire de Claude François au Québec1, est un film biographique belgo-français écrit2 et réalisé par Florent-Emilio Siri, sorti en 2012. La famille de Lucia est originaire de Calabre, en Italie. Mais son rêve de gloire avait pris un tournant dramatique lorsqu’elle avait commencé à souffrir d’anorexie et de problèmes à la hanche. Et puis, on retrouve cette forme humaine et équilibrée après une bonne trentaine d’années. Le 15 décembre, il chante devant 20 000 spectateurs survoltés au Parc des expositions de la porte de Versailles au profit de la fondation Perce-neige en faveur de l'enfance handicapée[12]. Les 3 et 4 février, il retrouve son public belge au Forest National, la plus grande salle de concerts de Bruxelles, puis à Charleroi, à Liège et à Wavre. Claude François (1939-1978), un mythe de la chanson française qui avait peur de tout. Julie Bocquet souligne que sa mère aurait affirmé au chanteur avoir 18 ans[83]. ». Mais pas y être enfermée à clé, punie d’avoir souri à d’autres hommes en public. Mais lui a eu la naïveté d'en parler »[79]. Il me dit qu’il ne quitterait pas cet endroit avant d’avoir rencontré Daniel Filipacchi ; c’était presque une question de vie ou de mort. À l'automne 1962, il obtient son premier succès, avec Belles ! Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français de sa génération, il fait surtout des adaptations en français de titres américains et/ou anglais, ceux-ci n'étant pas diffusés ou étant tout simplement cédés directement à l'exportation pour adaptation. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Après divers débordements de ses admiratrices, le spectacle se termine par un feu d'artifice et sous une pluie de confettis et de ballons à l'effigie du chanteur. Il photographie aussi Brigitte Bardot à l'occasion de ses 40 ans[53]. », « sa première grande passion commence en 1964, puisqu’elle va vivre une histoire impossible avec Claude François. Mais n’est parvenue à cohabiter que deux ans. Claude François a eu une grande soeur, Marie-Josée François, née 5 ans avant lui, en 1934. Le 29 octobre, après avoir participé à un Musicorama spécial, Claude François reçoit, des mains du comédien Maurice Biraud, ses deux premiers disques d’or[12],[25]. Au cours de l'année 1965, il enregistre une quinzaine de titres, dont Les Choses de la maison et Même si tu revenais[20]. Il avait du respect pour la musique [...], ceux qui chantaient juste, ceux qui jouaient juste [et] détestait par-dessus tout l'amateurisme », « dans le domaine de la chanson populaire, [il n'y a] pas de chanteur plus méprisé par les faiseurs de culture », « des milliers de gens ont toujours été persuadés que Claude François n'a chanté pendant quinze ans que des bluettes à deux sous », « il n'est pas exagéré de dire qu'un vaste public est passé à côté d'un artiste complet », « s'il en est un qui mérite le titre de chanteur de variétés avec un grand v, c'est bien Claude François », « longtemps dénigré par la critique musicale, le chanteur, « cristallisait beaucoup de passions et de hargne – trop de paillettes, trop de filles, trop de succès, trop de télévision », « assimilé(e) à un signe de respectabilité, mais aussi d’entrée dans l’histoire », « que Claude François n’a peut-être pas été suffisamment réévalué au cours des dernières décennies », « le personnage historique prend le pas sur l’idole », « occupe une place immense dans l'histoire sentimentale de la France », « chanteur populaire d'une identité migrante, impure, ouverte », « depuis sa mort, le chanteur reste dans les cœurs mais [que] toutes les tentatives pour maintenir un business autour du personnage ne sont pas des succès ». Son sens de la précision lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées. », Société d'édition créée par Claude François en, « Que reste-t-il de Claude François, cette ex-star de pacotille morte en laissant une non-œuvre. En échange, il devient le seul propriétaire de l'hôtel particulier parisien de leur père[109]. Retranscription d'une interview, Caillet, Sylvie & François, Claude Jr.. Léna Lutaud, « Cloclo, un business « forever » qui génère des millions », « il fut considéré longtemps, par une certaine critique et une partie du public, comme un véritable ennemi : trop de brillant, trop de sourires, trop de filles sexy autour de lui, trop peu de sens dans ses chansons.